Le "petit" piton vu du port de Soufrière où nous nous arrêtons pour acheter quelques victuailles, avant l'ascension du "Grand piton". |
Au sud de Soufrière, après nous être délestés des 88 EC$ obligatoires pour nous doter d'un jeune guide de 22 ans, nous commençons la rude montée qui mène au sommet du Gros Piton.
Vue sur le petit Piton, l'ascension y est encore plus abrute mais la vue d'autant plus spectaculaire aux dires des locaux. Je les crois sur parole.
Après 2h de marche, le sommet découvre une grande partie de l'île... et des arbres au feuillages sculptés.
Notre guide de 22 printemps qui travaille ici depuis 5 ans, ne fait pas exception, pendant que Roberto semble perdu dans ses pensées.
Bon, si les gens ont l'air bizarre, on n'y peut rien, la vue est tout de même splendide. Dommage toutefois que la brume des sables trouble l'horizon. NB : la brume des sables est composée de poussières microscopiques en provenance du Sahara et balayée par les alizés jusqu'aux Caraïbes.
C'est nous !
- Changement de décor -
A 5 minutes à pied de l'appartement que nous louons, les plages. Entre deux bancs de sables, les chevaux et leurs cavaliers profitent de la fin de journée pour se rafraîchir.
Sunshine to sunset ! La redoutée brume des sables qui trouble si souvent le paysage, permet ici de faire de belles photos du coucher de soleil.
- Rechangement de décor -
Pas très loin de Soufrière, il y a volcan (forcément avec un nom pareil). Et pas très loin du volcan, il y a des sources chaudes privées (donc payantes). En contre bas, il y a la même rivière sulfurée version roots et gratuite.
La boue volcanique aurait toutes les vertus du monde selon notre ami rasta (au second plan en train de se rincer)
Pendant ce temps, je fais tranquillement sécher ma boue sous un soleil de plomb...
Nous passons une bonne partie du dernier jour de notre long week end sur la presqu'ïle de Pigeon, l'un des lieux phares du festival de jazz qui se déroule la première quinzaine de mai dans toute l'île.
Des snorkelers dans les eaux turquoises de Rodney bay
Il y a un petit peu de vent... |
Le fort Rodney à la presqu'île de Pigeon fut construit par les anglais pour lutter contre ces saletés de français. Mais Saint Lucie était française avant devenir anglaise, puis indépendante seulement en 1979 ! En témoigne la plupart des noms de lieux témoignants de son héritage français : Vieux fort, Castries, Cicéron, Anse cochon, Jalousie, Belle vue, La retraite, Desruisseaux....)
Allez salut ! Je vous prépare au plus vite un compte rendu en images du festival Terre de blues de Marie Galante
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